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« eRock de Jonathan Schatz m’a « hypnotisée ». Cette performance donne à voir une créature composée de trois corps se métamorphoser lentement et devenir menaçante. Tel un être sub-humain en monochrome noir qui se détache sur fond blanc, eRock se déploie sur la musique d’Antoine Chessex créant l’image d’un certain effroi. » Marguerite Castel lepoulailler.fr